Dans le logiciel en ligne Google Documents, utilisez le menu Insertion, Caractères spéciaux, à côté du symbole U + saisissez 00A0 puis insérez.
Voir l'article : http://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_ins%C3%A9cable#Saisie_de_l.E2.80.99espace_ins.C3.A9cable
samedi 26 février 2011
jeudi 17 février 2011
QuickCM
L'histoire de ce logiciel commence tout simplement par la volonté de mémoriser des textes bibliques. Je vivais à Epernay dans la Marne, à ce moment là je découvrai Borland Delphi, extroardinaire plateforme de développement RAD, permettant enfin de programmer en Pascal en mode WYSIWYG (graphique).
Je me suis lancé dans le développement d'un programme affichant des questions et des réponses enregistrées dans un fichier texte. Une note permettait de voir si on était bon ou mauvais. Il fallu trouver un nom à ce programme, je décidai de l'appeler Ignorance, puiqu'il s'attaquait à ce mal. Peu de temps après ma femme Kati m'a conseillé de lui donner un autre nom. Sa remarque était justifiée, il fut appelé QuickCM faisant apparaître les trois lettres clées : QCM (Questionnaire à Choix Multiples).
Dans les années 1997, 1998, le monde découvrait le Web, ce fabuleux outil de consultation de l'information. Je me suis dit que je pouvais alors l'éditer moi-même en créant un site Web dédié à la vente de ce logiciel. Je l'ai d'abord vendu par l'intermédiaire de sites de partage de logiciels, alors appelés des sharewares. Le site le plus efficace à l'époque était Anshare.com créé par un habitant de Montpellier. Il y a eu aussi le site Web Yaskifo.com qui permettait de vendre en acceptant l'achat par carte bleue.
Le logiciel semblait intéresser un certain nombre de gens. Des sociétés de formations, des universités et des établissements scolaires l'ont acheté. L'armée de terre de Montpellier, et même l'armée de l'air Finlandaise, trouvaient dans ce programme un bon moyen de tester leurs élèves.
Étant professeur de Technologie au collège de Chateau-Thierry, je l'utilisais allègrement avec mes élèves. N'ayant qu'un ordinateur sur lequel je pouvais le faire tourner dans ma salle de cours, en une heure, les élèves avaient le temps de passer un test d'une dizaine de questions. J'ai alors pris goût à ce type d'évaluation et je ne l'ai plus jamais quitté depuis.
Il y a eu QuickCM 1.0, QuickCM 1.3, QuickCM 1.7 (avec publicité dans l'US du SNES), QuickCM 2.0. La société Michael Smith International (www.michaelsmith.fr) a été intéressée par l'utilisation de ce logiciel et il a été convenu qu'elle l'édite. Les moyens n'ont toutefois pas été suffisant pour diffuser ce logiciel à grande échelle. Avec la montée de l'Internet, nous avons décidé de créer QuickCM Pro, le même logiciel mais capable de créer des tests, de les mettre en ligne et de récupérer les réponses. Une équipe était prête pour la hotline. Tout était prêt pour lancer ce programme. Un dépôt du nom QuickCM a été fait auprès de l'INPI, Apple s'est opposé à ce dépôt en argumentant que le nom et le logo était trop proche de son logiciel QuickTime. Nous ravons remporté le procés, mais les ventes n'ont pas été au rendez-vous.
Ce logiciel a fini sa vie lentement jusqu'en 2003 où le site Web de vente http://www.quickcm.com/ a été fermé.
Une belle aventure, mais qui n'a pas su profiter de la bulle internet des années 2000 !
Je me suis lancé dans le développement d'un programme affichant des questions et des réponses enregistrées dans un fichier texte. Une note permettait de voir si on était bon ou mauvais. Il fallu trouver un nom à ce programme, je décidai de l'appeler Ignorance, puiqu'il s'attaquait à ce mal. Peu de temps après ma femme Kati m'a conseillé de lui donner un autre nom. Sa remarque était justifiée, il fut appelé QuickCM faisant apparaître les trois lettres clées : QCM (Questionnaire à Choix Multiples).
Dans les années 1997, 1998, le monde découvrait le Web, ce fabuleux outil de consultation de l'information. Je me suis dit que je pouvais alors l'éditer moi-même en créant un site Web dédié à la vente de ce logiciel. Je l'ai d'abord vendu par l'intermédiaire de sites de partage de logiciels, alors appelés des sharewares. Le site le plus efficace à l'époque était Anshare.com créé par un habitant de Montpellier. Il y a eu aussi le site Web Yaskifo.com qui permettait de vendre en acceptant l'achat par carte bleue.
Le logiciel semblait intéresser un certain nombre de gens. Des sociétés de formations, des universités et des établissements scolaires l'ont acheté. L'armée de terre de Montpellier, et même l'armée de l'air Finlandaise, trouvaient dans ce programme un bon moyen de tester leurs élèves.
Étant professeur de Technologie au collège de Chateau-Thierry, je l'utilisais allègrement avec mes élèves. N'ayant qu'un ordinateur sur lequel je pouvais le faire tourner dans ma salle de cours, en une heure, les élèves avaient le temps de passer un test d'une dizaine de questions. J'ai alors pris goût à ce type d'évaluation et je ne l'ai plus jamais quitté depuis.
Il y a eu QuickCM 1.0, QuickCM 1.3, QuickCM 1.7 (avec publicité dans l'US du SNES), QuickCM 2.0. La société Michael Smith International (www.michaelsmith.fr) a été intéressée par l'utilisation de ce logiciel et il a été convenu qu'elle l'édite. Les moyens n'ont toutefois pas été suffisant pour diffuser ce logiciel à grande échelle. Avec la montée de l'Internet, nous avons décidé de créer QuickCM Pro, le même logiciel mais capable de créer des tests, de les mettre en ligne et de récupérer les réponses. Une équipe était prête pour la hotline. Tout était prêt pour lancer ce programme. Un dépôt du nom QuickCM a été fait auprès de l'INPI, Apple s'est opposé à ce dépôt en argumentant que le nom et le logo était trop proche de son logiciel QuickTime. Nous ravons remporté le procés, mais les ventes n'ont pas été au rendez-vous.
Ce logiciel a fini sa vie lentement jusqu'en 2003 où le site Web de vente http://www.quickcm.com/ a été fermé.
Une belle aventure, mais qui n'a pas su profiter de la bulle internet des années 2000 !
DSI
1993-2002 - DSI : logiciel éducatif de dessin technique. Une application qui tournait sous MS DOS, écrite en Borland Turbo Pascal, qui permettait de s'entraîner à la reconnaissance des 6 vues d'un objet technique. Logiciel édité par Logieduc puis par Chrysis.
L'idée de construire ce logiciel m'est venue de l'utilisation de 2 logiciels existants vendus par la société Logieduc et portant sur l'apprentissage du dessin technique. L'un (Cube 4) était très simple : il s'agissait d'empiler des cubes, l'autre plus ardu dans la reconnaissance des vues d'un objet technique (Dessduss). J'ai donc décidé de faire un logiciel d'apprentissage intermédiaire. Le logiciel consistait à partir d'un objet technique en perspective cavalière à placer les 6 vues à leur emplacement (vue de face, vue de dessus etc.). Maitrisant le logiciel Turbo Pascal (appris à l'IUT de Montpellier), je me suis mis à écrire le logiciel. A cet époque j'avais commencé à donner des cours de Technologie à Montpellier et ses environs. Comprenant la philosophie de la démarche de projet, je me suis dit que je pouvais l'appliquer à ce produit. J'ai donc rencontré d'autres professeurs de Technologie pour analyser les besoins. A cet époque M. Caleja était inspecteur de Technologie et nous nous rencontrions le mercredi après midi dans un collège de Maurin. J'ai rencontré des professeurs de Technologie du collège de Poussan (M. et Mme Zanetti) dans l'Hérault.
Une fois la version de démonstration finie, j'ai contacté le responsable de l'entreprise Logieduc. Celui-ci s'est montré intéressé par l'édition de ce logiciel. Après certains correctifs réalisés, l'édition s'est faite à partir de l'année 1994 et s'est poursuivie jusqu'en 2002.
J'ai présenté ce projet, avec une application pédagogique, lors de mon oral du CAPET (Certificat d'Aptitude Professionnel à l'Enseignement Technique) en 1994. Ce projet n'a pas reçu les honneurs du jury puisque ma note a été de 5/20. Il faut dire qu'à l'époque les projets informatiques en Technologie au collège n'était pas dans l'acceptation commune, l'informatique étant toujours considérée à part dans les processus industriels.
Cela ne m'a pas empêché d'avoir mon CAPET et d'exploiter ce projet d'une façon pédagogique avec des élèves d'un collège de centre ville de Montpellier l'année 1994-1995, où une version 2.0 de DSI est sortie, mais cette fois-ci cette version n'a pas été éditée, la première faisant suffisamment recette.
L'idée de construire ce logiciel m'est venue de l'utilisation de 2 logiciels existants vendus par la société Logieduc et portant sur l'apprentissage du dessin technique. L'un (Cube 4) était très simple : il s'agissait d'empiler des cubes, l'autre plus ardu dans la reconnaissance des vues d'un objet technique (Dessduss). J'ai donc décidé de faire un logiciel d'apprentissage intermédiaire. Le logiciel consistait à partir d'un objet technique en perspective cavalière à placer les 6 vues à leur emplacement (vue de face, vue de dessus etc.). Maitrisant le logiciel Turbo Pascal (appris à l'IUT de Montpellier), je me suis mis à écrire le logiciel. A cet époque j'avais commencé à donner des cours de Technologie à Montpellier et ses environs. Comprenant la philosophie de la démarche de projet, je me suis dit que je pouvais l'appliquer à ce produit. J'ai donc rencontré d'autres professeurs de Technologie pour analyser les besoins. A cet époque M. Caleja était inspecteur de Technologie et nous nous rencontrions le mercredi après midi dans un collège de Maurin. J'ai rencontré des professeurs de Technologie du collège de Poussan (M. et Mme Zanetti) dans l'Hérault.
Une fois la version de démonstration finie, j'ai contacté le responsable de l'entreprise Logieduc. Celui-ci s'est montré intéressé par l'édition de ce logiciel. Après certains correctifs réalisés, l'édition s'est faite à partir de l'année 1994 et s'est poursuivie jusqu'en 2002.
J'ai présenté ce projet, avec une application pédagogique, lors de mon oral du CAPET (Certificat d'Aptitude Professionnel à l'Enseignement Technique) en 1994. Ce projet n'a pas reçu les honneurs du jury puisque ma note a été de 5/20. Il faut dire qu'à l'époque les projets informatiques en Technologie au collège n'était pas dans l'acceptation commune, l'informatique étant toujours considérée à part dans les processus industriels.
Cela ne m'a pas empêché d'avoir mon CAPET et d'exploiter ce projet d'une façon pédagogique avec des élèves d'un collège de centre ville de Montpellier l'année 1994-1995, où une version 2.0 de DSI est sortie, mais cette fois-ci cette version n'a pas été éditée, la première faisant suffisamment recette.
mercredi 16 février 2011
Utilisation d'un traitement de texte en respectant les règles de base
Beaucoup de personnes ont appris sur le tas à utiliser un traitement de texte. Lorsqu'on n'utilise pas les bonnes fonctions, le document produit, devient complètement dépendant du logiciel et de sa version. De plus quand on essaie de changer sa mise à forme, il faut changer chaque phrase.
Pour éviter cela, voici quelques règles à retenir :
- séparer la saisie de la mise en forme,
- ne pas appuyer plus d'une fois de suite sur Espace,
- utiliser les styles de mise en forme,
- Placer les éléments les uns sous les autres,
- Alt + 144 : É, Alt + 183 : À,
- Ponctuations : 1 signe, un espace après, 2 signes, un espace avant et après.
Exemple de saisie d'un document plutôt littéraire :
Exemple de saisie d'un document plutôt scientifique :
samedi 12 février 2011
ValidateRequest="false" ne marche pas dans asp.net 4.0
Pour y remédier ajouter ces lignes dans le fichier web.config :
<system.web>
<httpRuntime requestValidationMode="2.0" />
</system.web>
<system.web>
<httpRuntime requestValidationMode="2.0" />
</system.web>
jeudi 10 février 2011
Nouvelles vidéos de l'ENT MESTEK
Les nouvelles vidéos de l'espace numérique de travail pour écoles, collèges et lycée MESTEK :
lundi 7 février 2011
Formation contrôle de gestion bancaire
Comment déterminer les prix de revient des prestations bancaires ? Comment mesurer la performance par secteur ou métier ? Commet intégrer les coûts de traitement back-office dans le calcul de la rentabilité des opérations générées par le front-office ? Comment intégrer le risque dans le calcul de la rentabilité tout en tenant compte de l’approche risque de Bâle 2 ? Comment déterminer et utiliser les taux de cession interne et les prix de cession interne? Quelles sont les implications des normes IAS / IFRS sur le métier et l’organisation du contrôle de gestion ?
samedi 5 février 2011
La mémorisation des favoris est un casse-tête !
Tous les jours l'accès aux favoris traditionnels est problématique : on utilise rarement le même explorateur, l'explorateur que l'on utilise habituellement n'est pas installé sur l'ordinateur du travail, on n'est pas sur le même ordinateur etc.
Voici quelques suggestions pour vous rendre l'accès à vos favoris plus facile :
1. La solution la plus simple est de ne plus en avoir ! Comment ? En retenant dans sa mémoire les mots clés qui nous ont permis d'accéder au site.
Exemple : j'ai mis plusieurs minutes à trouver sur YouTube une bonne vidéo pour illustrer un cours sur les vélos utilisés dans les stades vélodromes. J'ai retenu certains mots clés spécifiques du titre de la vidéo : "women pursuit". Les autres fois que j'ai eu besoin de la voir, je l'ai retrouvée instantanément.
Avantage : rien à écrire. Inconvénient : notre mémoire est très volatile, cela implique d'utiliser très régulièrement la ressource mémorisée.
2. Utiliser les favoris intégrés au moteur de recherche Google. Une fois que vous avez effectué une recherche et trouvé le site qui vous convient, une petite étoile figure à côté du titre dans les listes des résultats de Google, il suffit de cliquer sur cette étoile pour la rendre jaune. La prochaine fois que vous ferez la recherche avec les mêmes mots clés, le site arrivera en tête de liste.
3. Garder en mémoire les favoris dans un document constamment accessible. Vous créez un document Google que vous nommez Favoris par exemple, vous collez les adresses des sites que vous voulez garder en mémoire de façon sûre.
Exemple : je garde en mémoire de cette façon, les sites officiels avec les mots de passe d'accès. Ainsi je ne charge pas ma mémoire personnelle car je sais que je peux à tout moment les retrouver.
Avantage : mémoire sûre, non volatile. Inconvénient : temps mis à écrire ces adresses, important de toujours se déconnecter de son compte Google avant de quitter un poste public.
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